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Mise à jour mensuelle du marché : la demande de voitures d’occasion chute en mai

Malgré des hausses dans certains marchés européens en avril, la demande de voitures d’occasion s’est effondrée en mai, impactant les valeurs résiduelles (VR). Le journaliste d’Autovista24, Tom Hooker, analyse les données avec les experts du groupe Autovista.

La demande de voitures d’occasion a considérablement chuté dans les principaux marchés européens le mois dernier. L’indice de volume des ventes (SVI) des voitures âgées de deux à quatre ans a reculé en Allemagne, en Espagne, en France, en Suisse, en Italie et en Autriche par rapport à avril. À l’exception du Royaume-Uni, la plupart de ces pays ont également enregistré une baisse des ventes sur un an.

L’Allemagne a connu la baisse la plus marquée par rapport à avril, avec une chute de la demande de 35,5 %. L’Espagne a enregistré un recul de 32,5 %, tandis que le SVI a baissé de 21,2 % en France. Les ventes en Suisse ont diminué de 13,4 %, suivies de l’Italie (-12,8 %) et de l’Autriche (-11,6 %).

Le Royaume-Uni a fait figure d’exception, évitant une baisse mensuelle, avec un SVI en légère hausse de 0,2 %. Cependant, par rapport à mai 2024, la demande au Royaume-Uni a diminué de 23,7 %.

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Cette baisse est toutefois inférieure à celle de l’Espagne, où les ventes en concession ont chuté de 66,4 % sur un an. En Allemagne, les modèles âgés de deux à quatre ans ont enregistré une baisse de 33,2 % selon le SVI. L’Autriche et la Suisse ont vu cet indicateur reculer de 13,7 %.

Chute continue des valeurs résiduelles

Les VR exprimées en pourcentage du prix catalogue d’origine (%VR) après 36 mois et 60 000 km ont poursuivi leur baisse en mai. L’offre étant relativement stable, la diminution de la demande exerce une pression supplémentaire sur les VR. Ces valeurs devraient reculer dans toute l’Europe en 2025.

La plupart des marchés observés ont enregistré une baisse des %VR depuis le début de l’année. L’exception reste l’Allemagne, où les valeurs sont restées stables depuis janvier.

L’Italie affiche la plus forte baisse annuelle des %VR, avec un recul de 4,6 points de pourcentage (pp) par rapport à mai 2024. L’Autriche suit avec -4,3 pp, puis la Suisse avec -4,2 pp.

L’Espagne a vu ses valeurs baisser de 3,4 pp, tandis que l’Allemagne a enregistré un recul de 2,3 pp. Le Royaume-Uni affiche le plus faible changement annuel avec une baisse de seulement 1,1 pp.

Hausse des prix catalogue

Le mois de mai a vu une hausse des prix catalogue dans tous les marchés par rapport à avril.

Le Royaume-Uni a connu la plus forte hausse, avec +3,1 %, suivi de la France (+2,3 %). En Espagne, les prix ont augmenté de 1 %, tandis qu’en Allemagne, en Autriche et en Suisse, la hausse a été de 0,7 %.

L’Italie a connu la plus faible hausse par rapport à avril (+0,2 %), mais a enregistré une baisse de 2,3 % par rapport à mai 2024. À l’inverse, l’Autriche a vu ses prix grimper de 9,3 % sur un an.

Le Royaume-Uni a aussi enregistré une forte hausse annuelle de 7,8 %, contre 7,5 % en Espagne et 7,2 % en Allemagne. En Suisse, les prix ont progressé de 5,1 %.

La demande chute en Autriche

« Le SVI en Autriche a baissé en mai après une hausse en avril. Le nombre de ventes observées a diminué de 11,6 % par rapport au mois précédent, ce qui équivaut à une baisse annuelle de 13,7 % », déclare Robert Madas, responsable régional des évaluations chez Autovista Group.

L’indice de volume de marché actif (AMVI) pour les voitures âgées de deux à quatre ans a légèrement diminué de 3,1 % par rapport à avril. Le nombre d’annonces pour cette tranche d’âge a chuté de 6 % sur un an.

Le délai moyen de vente est resté stable à 65 jours en mai.

Les véhicules diesel restaient les plus rapides à vendre, avec une moyenne de 58,9 jours, suivis des hybrides rechargeables (PHEV) à 65,9 jours, des véhicules essence à 67,2 jours et des hybrides classiques (HEV) à 67,8 jours. Les véhicules électriques à batterie (BEV) prenaient le plus de temps, avec 81,1 jours.

Le %VR moyen a légèrement baissé à 47,3 % en mai, soit une baisse de 0,3 pp par rapport à avril et de 4,3 pp sur un an.

« Les HEV ont conservé la plus grande valeur en janvier avec 51 %, suivis des voitures essence à 49,2 %, des modèles diesel à 47,7 % et des PHEV à 45,6 %. Les BEV ont à nouveau conservé la plus faible valeur à 39,9 %, leur deuxième baisse mensuelle consécutive, mettant fin à leur tendance à la hausse », ajoute Madas.

Les %VR devraient continuer à diminuer les prochaines années, mais à un rythme plus lent. Une baisse de 0,6 % est prévue d’ici fin 2025, suivie d’une baisse de 0,7 % en 2026.

Des voitures d’occasion chères en France

Les %VR sont restées globalement stables en mai, avec une très légère baisse. L’augmentation de 2 % des VR absolues est principalement due à la vente de véhicules plus coûteux ce mois-ci. Les prix catalogue ont augmenté de 2,3 % par rapport à avril.

Les véhicules essence sont restés stables, les meilleures ventes provenant des segments A, B et B-SUV.

Le marché diesel est également resté relativement inchangé, avec les meilleurs vendeurs issus des segments SUV C et D.

« Globalement, les %VR des HEV ont légèrement diminué en mai, car des modèles plus coûteux ont été vendus. Les nouveaux modèles hybrides ne conservent pas aussi bien leur valeur que les anciens, introduits lorsque la technologie était encore émergente », explique Ludovic Percier, analyste VR senior pour la France chez Autovista Group.

Les PHEV ont aussi vu une légère baisse des %VR. Les acheteurs de véhicules d’occasion ne sont pas prêts à payer une prime aussi élevée, et l’offre dépasse toujours la demande, faisant baisser les VR.

Le seul facteur qui maintient les %VR est l’arrivée de nouveaux modèles avec une meilleure autonomie électrique et un positionnement premium. Toutefois, les prix neufs restent élevés, ce qui accentue la perte de valeur.

BEV : stagnation du marché

Les %VR des BEV ont légèrement baissé en mai en France, à cause de ventes de véhicules plus chers. Le Tesla Model Y était le plus rapide à se vendre dans cette catégorie. Toutefois, son prix ainsi que celui de la Model 3 ont récemment chuté.

Les BEV les plus rapides à se vendre étaient souvent les modèles les plus abordables ou ceux offrant le meilleur rapport autonomie/prix : Smart Fortwo et BMW i3 figuraient dans le top 5.

« La technologie semble stagner. Les marques sont poussées par les gouvernements à vendre toujours plus de BEV neufs, saturant ainsi le marché de l’occasion, alors que la demande reste faible », souligne Percier.

Demande en baisse en Allemagne

Après une forte hausse en avril, le SVI a fortement chuté en mai (-35,5 % par rapport au mois précédent et -33,2 % sur un an).

L’AMVI des voitures de deux à quatre ans est resté stable, en légère baisse de 1,3 % par rapport à avril. L’offre a chuté de 11,5 % sur un an.

« Le temps moyen de vente est passé à 58 jours en mai. Les PHEV se sont vendus le plus rapidement (54,5 jours), suivis des diesels (55,6), des HEV (56,4), des BEV (57,7) et enfin des voitures essence (60,4) », indique Madas.

Les %VR après 36 mois et 60 000 km ont légèrement augmenté à 47,7 % (+0,1 pp). Les voitures essence mènent avec 49,3 %, suivies des HEV (48,8 %), des diesels (48,7 %), des PHEV (42,7 %) et des BEV (37,2 %).

« Même si les VR se sont stabilisées récemment, la demande reste faible. On prévoit une baisse des %VR de 2,8 % d’ici fin 2025, puis de 1,4 % en 2026 », résume-t-il.

Croissance en Espagne

Les ventes de voitures neuves en Espagne ont progressé de 7,1 % en avril, portant la hausse annuelle à 12,2 % sur les quatre premiers mois.

Tous les canaux de vente ont progressé, notamment les flottes d’entreprises et de location, en amont de la saison touristique.

« Le canal des particuliers a aussi augmenté grâce au plan Reinicia Auto+ à Valence, combiné à une hausse des livraisons de VE. Ces derniers ont atteint 16,2 % du marché en mai », explique Ana Azofra, responsable valorisation Espagne chez Autovista.

Le marché de l’occasion a également progressé (+3,7 % de janvier à avril), avec une part croissante de VE et de voitures récentes, rendant l’offre plus durable.

« En termes de prix moyens, le marché espagnol se détache des tendances négatives en Europe. Toutes les motorisations sont stables, et les voitures d’occasion se sont vendues 10 jours plus rapidement qu’un an plus tôt », ajoute Azofra.

Seuls les PHEV (-4,7 %) et les voitures essence (-0,4 %) ont vu leurs VR baisser en mai. Les modèles les plus rapides à se vendre étaient les Lynk & Co 01, Kia Ceed et Toyota CH-R.

Baisse significative de la demande en Suisse

« Après une hausse en avril, le SVI a fortement baissé en mai en Suisse, avec un recul de 13,4 % par rapport au mois précédent et de 13,7 % sur un an », rapporte Madas.

L’AMVI a diminué de 1,1 %, et l’offre a chuté de 11,7 % par rapport à l’an dernier.

Les %VR des voitures de 36 mois et 60 000 km sont passés de 43,7 % en avril à 43,3 % en mai (-4,2 pp sur un an).

« Les HEV ont conservé le plus de valeur (48,4 %), suivis des voitures essence (44,7 %), des diesels (42,1 %), des PHEV (40,7 %) et des BEV (37,3 %) », précise Madas.

Les voitures d’occasion se sont vendues en moyenne en 73,9 jours. Les HEV étaient les plus rapides (57,2 jours), suivis des voitures essence (72,3), diesel (75), BEV (79) et PHEV (84).

La tendance d’offre stable et de demande faible devrait se poursuivre en 2025, entraînant une baisse des %VR de 3,9 % d’ici fin 2025 et de 1,5 % en 2026.

Stabilité au Royaume-Uni

En mai 2025, les voitures de trois ans ont conservé 50,8 % de leur prix neuf, stable par rapport à avril.

Les %VR des voitures essence ont légèrement augmenté (+0,1 pp à 52,7 %), celles des diesels de 0,5 pp (53 %). Les HEV ont baissé de 0,4 pp (54,5 %), les PHEV de 0,6 pp (49,2 %) et les BEV de 0,9 pp (37,5 %), selon Jayson Whittington.

Le temps moyen de vente a augmenté à 37,5 jours. Les hybrides étaient les plus rapides à vendre (35,5 jours) et conservaient la plus grande valeur.

Les hybrides vendues plus lentement

Le temps de vente moyen des voitures essence a augmenté de 3,8 jours (37,2 jours), celui des diesels de 4 jours (42,3 jours). Les HEV ont pris 2,6 jours de plus à se vendre. Les PHEV ont été plus rapides de 0,6 jour (37,6 jours), et les BEV ont pris 1,2 jour de plus (37 jours).

Le SVI est resté stable, l’AMVI a baissé de 1,6 %.

« Si le changement de plaques de mars a généré plus de voitures d’occasion, elles ont déjà été absorbées ou leur volume était limité. Sans nouvelles augmentations de l’offre, les perspectives à court terme pour les VR au Royaume-Uni restent stables », conclut Whittington.

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Mauvaise performance de l’essence en France malgré la croissance des hybrides

Le mois dernier, les hybrides complets (HEV) ont, pour la première fois, dominé le marché des voitures neuves en France, alors que les immatriculations de véhicules essence se sont effondrées. S’agit-il du début d’une nouvelle ère électrifiée dans le pays ? Phil Curry, rédacteur en chef de contenu spécial chez Autovista24, analyse les derniers chiffres.

Le marché français des voitures neuves a poursuivi sa baisse en mars, les motorisations essence perdant leur position de leader pour la première fois.

Selon les données de la PFA (Plateforme automobile), les immatriculations ont chuté de 14,5 % au cours du mois, avec 153 844 unités livrées, d’après les calculs d’Autovista24. Cela représente une baisse de 26 180 unités par rapport à la même période en 2024.

L’année dernière, Pâques étant tombée en mars, la plupart des marchés européens avaient connu des reculs à cette période. Ces marchés s’étaient ensuite redressés en avril. Comparé à mars 2023, mois non perturbé, le marché français affiche une baisse de 15,8 %.

Cela signifie qu’avril pourrait également enregistrer un recul, confronté à un mois d’avril 2024 plus fort et à la période de congé de Pâques cette année.

Seuls les HEV et les hybrides légers (MHEV) ont affiché une croissance le mois dernier. Tous les autres types de motorisations ont enregistré un recul à deux chiffres, soulignant les difficultés actuelles du marché.

Au premier trimestre, les immatriculations sont en baisse de 7,8 % avec 410 085 véhicules livrés, soit 34 819 de moins que sur la même période en 2024.


Des circonstances changeantes

Plusieurs facteurs peuvent expliquer ce recul. De nombreuses immatriculations ont été anticipées en février, en raison des modifications des subventions pour les véhicules électriques (VE). Le seuil du malus écologique a également été modifié, pouvant décourager certains acheteurs.

Depuis le début de mars, le seuil d’émission de CO₂ pour déclencher un malus de 50 € a été abaissé à 113 g/km. Un supplément de 25 € est ajouté par gramme jusqu’à 117 g/km, puis 20 € par gramme jusqu’à 124 g/km. Ensuite, les pénalités augmentent progressivement jusqu’à un plafond de 70 000 € pour les véhicules émettant plus de 192 g/km.

Cela pourrait expliquer l’effondrement des ventes de véhicules thermiques en mars, alors que les constructeurs misent de plus en plus sur les MHEV au détriment des moteurs traditionnels. Reste à voir si cet impact se stabilisera au cours de l’année.

‘Cette chute du marché en mars était largement prévisible après les immatriculations anticipées en février liées à la réduction du bonus et à l’augmentation du malus. Nous devrions observer des tendances mensuelles plus stables à partir du mois prochain’, a expliqué Marie-Laure Nivot, responsable de l’analyse du marché automobile chez AAA Data.

‘En attendant, la baisse de 8 % au premier trimestre montre à quel point le marché reste déprimé, malgré l’électrification croissante des flottes.’

En plus des changements de subventions et du malus, le marché a aussi dû composer avec la période de leasing social. Durant cette période, les particuliers pouvaient louer un VE pour 100 € par mois ou moins.

Environ 50 000 foyers ont bénéficié de cette offre, qui a pris fin en moins de deux mois. Ces véhicules ont été livrés en février et mars, gonflant artificiellement les chiffres.


La fin de la domination de l’essence

Les changements de fiscalité pour les véhicules thermiques à fortes émissions ont probablement joué un rôle clé dans l’effondrement du marché en mars.

Les immatriculations essence ont chuté de 44,2 %, à 32 867 unités, soit une baisse de 25 995 véhicules. Leur part de marché de 21,4 % est en recul de 11,3 points par rapport à mars 2023.

Pour la première fois, l’essence est passée derrière les HEV et MHEV en volume et en part de marché. Contrairement à la majorité des marchés européens, la France distingue clairement ces deux types d’hybrides. Alors que les hybrides combinés dominent le marché global de l’UE, l’essence était encore leader en France grâce à cette distinction.

Les hybrides se rapprochent des volumes essence depuis 12 mois. Il reste à voir si les résultats de mars marquent un changement durable. Une chose est sûre : l’essence a perdu sa suprématie.
Au premier trimestre 2025, les immatriculations essence ont baissé de 34,1 %, avec 97 951 unités, soit 50 734 de moins. La part de marché est de 23,9 %, contre 33,4 % l’année précédente.


Les difficultés du ICE

Le diesel a également souffert : en mars, les immatriculations ont chuté de 52,1 % à 6 463 unités, son plus bas niveau. La technologie ne représente plus que 4,2 % du marché, en recul de 3,3 points.

Depuis janvier, les immatriculations diesel ont baissé de 45,6 %, à 18 126 unités. Sa part est tombée à 4,4 %, contre 7,5 % un an plus tôt.

Au total, essence et diesel ont perdu 45,6 % en mars, avec 33 029 unités de moins. Leur part de marché combinée de 25,6 % est désormais presque à égalité avec les VE.

Sur le trimestre, les motorisations thermiques ont chuté de 36,2 %, soit 65 946 unités en moins. Leur part de marché est tombée à 28,3 %, contre 40,9 % en 2024.


Les hybrides dominent

Alors que les ICE reculaient, les hybrides se sont envolés. Seuls les HEV et MHEV ont enregistré une hausse en mars.

Les MHEV ont progressé de 57,6 % avec 33 392 nouvelles immatriculations, soit 21,7 % du marché, en hausse de 9,9 points.

Les HEV ont grimpé de 29,8 %, avec 37 284 unités, représentant 24,2 % du marché, contre 16 % l’an dernier.
Sur le trimestre, les MHEV ont bondi de 73,9 %, avec 89 312 immatriculations, gagnant 9,9 points de part de marché.

Les HEV ont progressé de 29 %, à 94 955 unités, atteignant une part de 23,2 %, à seulement 0,7 point de l’essence. Cette part était de 16,5 % il y a un an.


Les VE en difficulté

Les immatriculations de véhicules 100 % électriques (BEV) ont reculé pour le huitième mois consécutif, en baisse de 14,7 %, à 29 261 unités. La part de marché a légèrement diminué de 0,1 point à 19 %.
Depuis janvier, les BEV sont en recul de 7,1 %, à 74 519 unités. Leur part est passée à 18,2 %, en hausse de 0,2 point grâce à la baisse des thermiques.

Les hybrides rechargeables (PHEV), en revanche, se sont effondrés : -49,1 % en mars avec 8 289 unités, soit une part de marché de 5,4 %, en recul de 3,7 points.
Sur le trimestre, les PHEV affichent la plus forte baisse : -49,2 %, avec 19 592 unités. Leur part tombe à 4,8 %, contre 8,7 % l’an dernier.


Électrification en demi-teinte

Combinés, les BEV et PHEV ont perdu 25,8 % en mars, avec 13 066 véhicules en moins. Leur part de marché de 24,4 % est juste 1,2 point derrière les thermiques, mais en recul de 3,7 points sur un an.
Sur le trimestre, les VE ont chuté de 20,8 %, soit 24 676 unités de moins. Leur part de marché de 22,9 % est en baisse de 3,8 points.

En ajoutant les HEV, le marché électrifié a dominé les immatriculations en mars. Mais la baisse des VE a conduit à une baisse globale de 5,7 %. Grâce aux HEV, la part du marché électrifié a atteint 48,6 %, en hausse de 4,5 points.

Sur le trimestre, le constat est similaire : baisse de 1,7 % des immatriculations électrifiées, mais domination du marché avec 46,1 %, en hausse de 2,9 points.

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